COMMISSION DES TERRAINS

Notre Commission des Terrains s’est réunie ce jour en présence de Messieurs Patrick SCALA, Président de la Commission des Terrains de la Ligue Méditerranée ainsi que de son Vice-Président Régional, Patrice BULLY.

Notre commission était représentée par Messieurs Alain BERTHELOT, Président, Jean-Luc BOUVERAT, membre du Comité de Direction et Etienne RIPPERT, membre du Comité de Direction.

L’objectif de cette réunion était avant tout de faire un état des lieux des installations qui restaient à classer ainsi que des éclairages à homologuer.

Un travail de longue haleine s’annonce pour notre commission auprès des municipalités.

INSCRIPTIONS OUVERTES !

Le CROS Région Sud propose une formation à distance sur le thème « Responsabilités civiles, pénales et financières de l’association sportive et de ses dirigeants », le vendredi 21 mai (09h00-12h00 / 13h30-16h30).

Connaître la responsabilité de l’association de ses dirigeants, pour limiter les risques et identifier les assurances adaptées.

A l’issue de la formation, vous serez capable de :

– Connaitre les bonnes attitudes qui sécurisent la gestion de son association.

– Comprendre la notion de responsabilité civile et pénale.

– Identifier les types d’assurances adaptées à son activité.

Pour en savoir + et s’inscrire : FORMATION

Interview de Julie Noel Joueuse de futsal et Educatrice U15 à ST JEAN DU GRES-FONTVIEILLE

Julie Noel : « Auparavant, les équipes féminines existaient uniquement parce qu’elles permettaient aux seniors d’avoir un avantage, désormais on crée  des équipes féminines pour monter un véritable projet. »

Joueuse de Futsal à Marguerittes et éducatrice à ST Jean du Grès Fontvieille , Julie Noël nous raconte son parcours, avec notamment un titre de vice-championne d’Europe en 2019. L’occasion de connaître, selon elle, les éléments indispensables pour entretenir un groupe soudé sur et en-dehors des terrains.

Bonjour Julie, pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots s’il-vous-plaît ?

Je joue au football depuis mes 6 ans, j’ai commencé avec les garçons vers Saint-Martin-de-Crau où l’on a été champion District de Provence. Ensuite, je suis partie à Nîmes où j’ai remporté 2 fois la Coupe de la Ligue et 1 fois le championnat de France de D2. Enfin, j’ai arrêté le football sur terrain vert pour me mettre au futsal.

Avec le Futsal Marguerittois, nous avons été championnes de France en 2018. L’année suivante on termine vice-championne d’Europe, et au mois d’octobre 2021 nous allons jouer la Ligue des Champions en Turquie.

Au sein du club de l’EFRM, je joue en senior et j’entraîne mes petites qui sont en U15 féminine. Je les ai depuis l’année 2019, lorsqu’elles évoluaient en U11 féminine.

Est-ce que jouer à un tel niveau au football féminin est synonyme de rémunération ?

Non, il existe des gros clubs comme l’OL et le PSG qui ont les budgets pour payer les joueuses mais comparer au foot masculin, les sommes sont dérisoires. Il y a quelques années, les joueuses du club de Montpellier devaient travailler à côté pour vivre.

Pensez-vous que cette position va évoluer ?

Oui, à l’époque où j’ai commencé, les équipes féminines se faisaient rares, il fallait aller à Marseille ou à Montpellier pour en trouver une. À ce jour, quasiment chaque club a son équipe féminine. Auparavant, les équipes féminines existaient uniquement parce qu’elles permettaient aux seniors d’avoir un avantage, désormais on crée des équipes féminines pour monter un véritable projet.

Quel-est votre parcours en tant qu’éducatrice ?

J’ai acquis le CFF2 en 2019, et je compte passer tous les diplômes. À terme, j’ai l’ambition d’entraîner une équipe professionnelle. Corinne DIACRE (sélectionneuse de l’Équipe de France féminine) a ouvert la voie. J’ai su que c’était possible lorsqu’elle a entraîné Dijon en Ligue 2.

Malheureusement, je suis bien souvent la seule coach féminine sur les plateaux. Il y en a de plus en plus mais nous restons une minorité.

Selon vous, quels-sont les traits de caractère nécessaires pour encadrer un groupe ?

Être très dynamique et autoritaire, surtout lorsqu’elles sont dans la pré-adolescence comme mon équipe. Dès le début il faut instaurer des règles, et surtout être à l’écoute. J’ai cette chance de les avoir depuis qu’elles sont toutes petites, ce qui favorise une meilleure relation avec un groupe très uni.

Avez-vous eu des réticences avant d’endosser le rôle d’éducatrice ?

Auparavant, je me refusais l’idée de devenir éducatrice mais maintenant je prends plus de plaisir à coacher mes petites qu’à jouer. J’avais des craintes, parce qu’on se doit d’être irréprochable et d’inculquer des valeurs comme le respect, l’esprit d’équipe. Être éducatrice n’est pas seulement leur apprendre à jouer au football.

Avec votre équipe, est-ce que vous avez souvenir d’un évènement dont vous êtes fière ?

L’année dernière avec mes U15, nous avions commencé dans le championnat U13 garçon. J’ai ressenti beaucoup de fierté lorsque les autres éducateurs venaient me voir pour encenser mon groupe de joueuses. Qu’elles soient capables de ressortir le ballon de derrière, de faire circuler le ballon dans la largeur, ce sont des comportements qui, à cet âge, ont étonné certains éducateurs.

 

« Mes joueuses n’aiment pas jouer contre ou avec des garçons, il y a encore et toujours cette mentalité ‘ce sont des filles, on ne leur fait pas de passe’. Pour retourner la situation, les joueuses doivent montrer du caractère ‘oui nous sommes des filles, oui nous aimons jouer au foot, et rien ne nous empêche d’être meilleures que vous’. »

Le ressenti de vos joueuses est différents lorsqu’elles jouent contre des garçons que contre des filles ?

Mes joueuses n’aiment pas jouer contre ou avec des garçons, il y a encore et toujours cette mentalité

« ce sont des filles, on ne leur fait pas de passe ». Pour retourner la situation, les joueuses doivent montrer du caractère « oui nous sommes des filles, oui nous aimons jouer au foot, et rien ne nous empêche d’être meilleures que vous ».

Comment arrivez-vous à gérer la relation avec les parents de vos joueuses ?

En tant que coach, il faut se remettre constamment en question. Je communique énormément avec les petites et les parents aux alentours, on a la chance d’avoir des parents qui nous suivent énormément et je les remercie pour leurs soutiens. À la fin de chaque match, je demande aux petites si elles ont pris du plaisir, si elles ont été à l’aise. La communication est essentielle.

Dans le club de l’EFRM, on a cet esprit famille. On fait beaucoup de journées cohésions avec les parents et les enfants. Je suis au-delà de leur coach, la preuve avec mes anniversaires, où elles vont jusqu’à m’offrir des cadeaux.

C’est important d’être dans un club qui vous met dans les meilleures conditions ?

Oui, c’est primordial. À ce sujet, notre président Sébastien LESAGE, est parfait. Il nous met dans les meilleures conditions pour que les éducatrices et les joueuses se sentent bien.

On a une soixantaine de licenciées féminines avec 4 catégories : les baby-foot (U9 U10 U11), moi je m’occupe des U12 U13 U14, ensuite nous avons des U18 encadrées par Guillaume GARCIA, le responsable de la section féminine, et le groupe senior à 8. Ensemble, nous prenons le temps de discuter et d’échanger.

Comment arrivez-vous à attirer autant de joueuses dans votre club ?

Certaines viennent d’elles-mêmes, et on effectue un gros travail de communication dans les écoles, sur les réseaux sociaux avec une page Facebook dédiée à notre équipe féminine : La Gazelle Team E.R.F.M.

Avez-vous une anecdote particulière avec votre groupe ?

Lors de la CDM en France, je suis allée voir un match à NICE, et sans savoir que des joueuses de mon équipe allaient aussi au stade, je suis tombée nez-à-nez avec mon groupe de petites. Nous sommes connectées jusqu’au bout des doigts, sur et en-dehors des terrains.

Quels-sont vos objectifs pour la suite de votre carrière d’éducatrice ?

Ma première année avec le groupe, lors de la saison 2018-2019, nous avions perdu aucun match. Et dès la fin de la crise sanitaire, on aimerait réitérer cette performance. Mais avant toute chose, nous avons hâte de retrouver le plaisir des terrains et le stress d’avant-match qui manquent tellement aux joueuses.

 

Merci à Julie pour cet échange, le DISTRICT GRAND VAUCLUSE souhaite de la réussite à l’ensemble de la Gazelle Team de l’EFRM et bonne chance pour la Ligue des Champions de Futsal en Turquie.

 

PRATIQUE SPORTIVE : NOUVELLES MESURES (19 MAI) !

Le Ministère des Sports a édicté de nouvelles mesures pour la pratique collective et individuelle à partir du 19 mai.

ATTENTION : ces mesures seront conditionnées à la situation sanitaire dans chaque département.

Résumé des principales mesures

Le 19 mai (avec respect du couvre-feu) 

  • Reprise pour les mineurs possible avec contact en intérieur et en extérieur (matches/compétitions autorisés).
  • Reprise pour les adultes sans contact en extérieur uniquement.

Le 9 juin (avec respect du couvre-feu) :

  • Reprise pour les adultes avec contact en extérieur (matches/compétitions autorisés).
  • Reprise pour les adultes sans contact en intérieur.

Le 30 juin :

  • Reprise pour les adultes avec contact en intérieur (matches/compétitions autorisés).

Pour connaître l’ensemble des mesures et pratiques autorisées, cliquez ici : Tableau mesures sanitaires SPORT 

FOOT AMATEUR : 15 MILLIONS D’EUROS EN EQUIPEMENTS

Le Comité Exécutif de la Fédération Française de Football a acté la mise en place d’un plan de soutien matériel d’un montant total de 15 millions d’euros à destination des clubs amateurs, afin de les soutenir dans leur reprise d’activités lors du démarrage de la saison 2021-2022.

Ce plan d’aides de la FFF, porté avec la Ligue du Football Amateur, sera destiné aux 13 000 clubs amateurs. La fourniture de ces équipements se déroulera de la manière suivante :

  •  Distribution de bons d’achat aux clubs amateurs qui disposent d’une école de football d’une valeur de 500 à 5 000 euros par club, en fonction du nombre de licencié(e)s, utilisables directement sur la plateforme footamateur.fff.fr. Ces bons seront distribués et activés en juin ;
  • Distribution de dotations Nike gratuites destinées à tous les autres clubs amateurs 
  • Facilité et rapidité de livraisons à domicile ou en points relais à partir de juillet. 

Cette aide vient conforter le plan de solidarité déjà mis en place en juin 2020 (30 M€) et le budget consacré au football amateur (86 M€) pour la saison 2021-2022 que la FFF a maintenu en dépit du contexte de crise sanitaire et de ses conséquences économiques.

Interview de Laurie Saulnier éducatrice U18 R1 Féminine de l’AC AVIGNON

Laurie Saulnier : « Désormais chaque club de village a son équipe féminine, auparavant, s’il y avait 3 clubs dotés d’une équipe féminine dans la région c’était le bout du monde. »

Joueuse et éducatrice à l’Avenir Club Avignonnais, Laurie Saulnier nous raconte son parcours en sélection jeune, sa vision sur l’évolution du football féminin et nous dévoile ses objectifs en tant qu’éducatrice.

Bonjour Laurie, présentez-vous en quelques mots s’il vous plaît ?

J’ai 25ans, je suis éducatrice des U18 R1 Féminine de l’ACA et responsable du Campus. J’ai un parcours de joueuse à un niveau national : MONTEUX D2, NIMES et ALBI D1. Je suis passée par les sélections jeunes U16, U17 et Universitaire avec à la clef un titre de Championne du monde et de vice-championne d’Europe.

Sacré parcours, et dorénavant quelle est votre situation ?

Je joue en R1 à AVIGNON, et je suis diplômée BEF, c’est ma 3e saison en tant qu’éducatrice à l’ACA avec les U18. J’ai toujours voulu entraîner, et le progrès du football féminin passe par l’augmentation des éducateurs diplômés.

Depuis vos débuts, avez-vous remarqué une certaine évolution du football féminin ?

Oui, il y a une évolution significative sur plusieurs points. Déjà au niveau national, en D1, D2, le niveau a augmenté. Les conditions des joueuses se sont améliorées, comparées à celles que j’avais à MONTEUX en D2 ce ne sont plus les mêmes aujourd’hui.

Désormais chaque club de village a son équipe féminine, auparavant, s’il y avait 3 clubs dotés d’une équipe féminine dans la région c’était le bout du monde.

Vous qui avait entraîné des garçons et des filles, voyez-vous une différence dans leurs façons d’aborder le jeu ?

Les garçons sont plus spontanés tandis que les filles ont plus tendance à intellectualiser le football. C’est une bonne chose qu’elles comprennent mieux, mais parfois il faudrait qu’elles jouent sans se prendre la tête. Qu’importe le genre, la passion est similaire, même par temps pluvieux je sais qu’elles seront présentes.

 
Quelles sont les clefs essentielles pour diriger un groupe de joueuses ?

Il faut un cadre de vie et leur amener de la compétence, leur donner les outils pour progresser. Ce sont les ingrédients primordiaux à mes yeux.

En tant qu’éducatrice, quelle serait votre plus grande réussite à ce jour ?

Ce sont des petits éléments du quotidien, comme remarquer la progression de mes joueuses. Des fois des trucs tout bête, un choix fort de joueur qui fait gagner l’équipe ou voir une joueuse passer éducatrice, on se dit qu’on l’a sûrement influencé pour qu’elle s’embarque dans cette aventure.

La crise sanitaire, l’absence de compétition, comment jauger les évolutions de votre groupe en ces temps singuliers ?

Sans compétition, c’est difficile de voir une évolution. Mais le côté positif, c’est de ne plus avoir ce côté décideur « qui va jouer, qui ne va pas jouer ? » et cela permet de créer des liens. Les filles ont plus tendance à se détendre et on peut plus facilement établir une relation de confiance.

Malgré l’arrêt des compétitions, j’ai toujours mes joueuses à l’entraînement donc je me dis qu’elles sont toujours aussi motivées. Elles sont dans un âge où elles en demandent beaucoup, si on pouvait s’entraîner tous les jours matins et soirs elles seraient hyper contentes.

Existe-t-il dans votre parcours de joueuse un évènement marquant ?

Ma principale fierté, c’est d’avoir porté le maillot de L’Équipe de France, d’avoir pu représenter son pays est toujours un grand moment. Tout comme évoluer dans la division 1, dans le plus haut niveau national.

La 1ère sélection était une catastrophe *rires*, c’est beaucoup de pression, j’étais sélectionnée en EDF U17 alors que j’étais U16, c’était déjà un niveau de jeu au-dessus. Il m’a fallu plusieurs matchs pour que ça se décante, mais une fois la machine lancée on arrive à occulter ce qu’il y a autour et jouer.

« Il y a 10 ans, c’était impossible de devenir joueuse professionnelle sauf à intégrer l’OL. »

 

Avec un tel début de carrière, est-ce que vous avez réussi à garder les pieds sur terre ou vous vous êtes imaginée professionnelle ?

Entre mes 15 et 18 ans, le football féminin avait des conditions compliquées. Exemple avec Kadidiatou DIANI, qui est de la même génération que moi, à 18 ans quand elle est sortie du pôle, elle travaillait à côté alors qu’elle jouait en D1. Le club lui avait trouvé un travail, et c’était déjà une révolution.

Il y a 10 ans, c’était impossible de devenir joueuse professionnelle sauf à intégrer l’Olympique Lyonnais. C’était la seule ouverture possible, il fallait plutôt se projeter sur des études que sur une carrière de joueuse professionnelle.

Avec la situation actuelle, regrettez-vous d’être arrivée « trop tôt » ?

Non, car on se dit qu’on a contribué à notre façon au développement du football féminin. C’est le même raisonnement pour toutes les générations.

À votre avis, quel(s) évènement(s) a permis cette évolution ?

L’image que l’EDF féminine dégage, les matchs qui ont commencé à être télévisé, un plan de développement du football féminin mis en place par la FFF.

La D1 qui a été racheté par Canal + est une grande avancée. La compétition s’intensifie avec Bordeaux, Montpellier qui mettent beaucoup de moyens. Même les petites structures commencent à s’accrocher, avant l’OL mettait des 10-0.

L’évolution de la discipline passe par l’augmentation du niveau en D2, l’avenir est radieux à ce sujet, on commence à remarquer un accroissement du nombre de joueuses.

Depuis votre arrivée à l’AVENIR CLUB AVIGNONNAIS, avez-vous souvenir d’un moment inoubliable ?

Oui, il y a 3 ans lors de ma 1ere saison à l’ACA. Nous avons vécu un très beau parcours en Coupe de France, on a éliminé 2 D2 et on perd sur la 3e D2 aux penalties. On joue au football pour vivre ces moments là, pour ces émotions.

En tant qu’éducatrice, quelles-sont vos sources d’inspiration ?

Principalement les éducateurs que j’ai eus en tant que joueuse, c’est ce qu’ils nous façonnent en tant qu’éducatrice. Tous confondus, bons ou mauvais, qu’importe leurs qualités et leurs défauts, ils t’apportent tous quelque-chose. Christophe CATELAIN mon coach, Claire CHAMBON, en sommes tous les éducateurs qui sont ou étaient dans l’équipe éducative, c’est de l’apprentissage au quotidien.

Quels sont vos objectifs pour la suite de votre carrière d’éducatrice ?

Avec les U18, nous souhaiterions accéder au U19 nationaux. Plus personnellement, j’aspire à évoluer en passant d’autres diplômes. Mon rêve serait de gérer la formation des joueuses. C’est un parcours difficile, mais j’ai le temps et le projet peut évoluer.

 

Merci à Laurie de nous avoir accordé cette interview, le DISTRICT GRAND VAUCLUSE lui souhaite du courage et de la réussite dans ses projets futurs.

REUNION DE SECTEUR

Les réunions de secteur continuent à être organisées et les clubs en sont très satisfaits.

4ème réunion dans une partie du secteur Nord avec la participation de 11 clubs.

Plusieurs sujets ont évoqués dont les championnats, la centrale d’achats, le pack arbitre ainsi que la partie financière.

La prochaine réunion est programmée pour le Mercredi 28/04 à 19h00 (2ème partie du secteur Nord)

REUNIONS DE SECTEUR

Les 1ères réunions de secteur ont démarré par visioconférence depuis le Mardi 21/04/2021

Voici le programme :

Mardi 20 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Sud
Mercredi 21 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Bouches du Rhône
Jeudi 22 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Centre (1ère partie de clubs)
Mardi 27 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Nord (1ère partie de clubs)
Mercredi 28 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Nord (2ème partie de clubs)
Jeudi 29 Avril 2021 à 19h00 •Secteur Centre (2ème partie de clubs)

 

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